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UN NID D’ENFANTS - 1897 Texte et illustrations de Marguerite Desgrand de Mairesse

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Détails du produit
EAN : 9791097339548

UN NID D’ENFANTS

Texte et illustrations de Marguerite Desgrand de Mairesse - 1897
Ouvrage élaboré par: Mireille Dodart de l'Hermuzière

Format : 15,5 x 23cm (à l’italienne)

84 pages

Finition: Cartonné / dorure
Tranche fil avec signé

"Dans ce roman autobiographique du 19 e siècle, Marguerite Desgrand croque ses enfants au propre comme au figuré."

Un roman témoignage du XIXe siècle

Un petit récit autobiographique à la manière de la comtesse de Ségur, née Rostopchine !

Trois enfants grandissent en âge et en sagesse, sous le regard doux et aimant de leur maman

Dessins au crayon et à la plume de l’auteur

Cartes postales et photographies contemporaines illustrent la fin de l’ouvrage

Présentation

Cet ouvrage a été élaboré par Mireille Dodart de l’Hermuzière, arrière-petite-fille de l’auteur.

Ce petit livre, écrit et illustré lors d’un séjour à Gap en décembre 1897, est un roman autobiographique de Marguerite Desgrand de Mairesse, âgée de trente ans. Elle met en scène la description de son enfance heureuse dans ce petit coin de paradis qu’est le village d’Estivareilles où elle vit avec ses parents, son frère et sa sœur, non loin de la bienveillante présence de ses grands-parents.

Elle place ses personnages, la sage Marie-Louise, le facétieux et inventif Gaston, la petite Yvonne-Pouponne qui est encore un vrai bébé, dans les décors familiers de sa petite enfance. Elle raconte les jeux dans le jardin, les leçons de leur précepteur, les promenades à dos d’âne, les cousinades joyeuses, les liens avec les voisins et les habitants du village. Marguerite fait dialoguer ses protagonistes comme dans une pièce de théâtre avec des didascalies mentionnant le comportement ou l’humeur de ses petits héros. Elle fait preuve d’une grande sensibilité et d’une fine analyse psychologique dans la description de leurs faits et gestes. Ces enfants, ce sont son frère et sa sœur (Gaston et Alix) ou peut-être ses propres enfants, Rita, Yvonne et Henry, qui grandissent en âge et en sagesse sous le doux et tendre regard de leur maman.

Le roman est illustré par des dessins à la plume de Marguerite, inclus dans le corps du texte.

En annexe, on pourra voir les reproductions de cartes postales d’époque des lieux décrits, les demeures familiales, les châteaux d’Estivareilles et des Trillers, et plusieurs photographies de sa parentèle.

Ce récit apparaît comme le testament d’une mère aimante à l’intention de ses propres enfants, dans l’esprit de la comtesse de Ségur.

On aimera retrouver dans ce récit l’esprit « comtesse de Ségur » dont Marguerite s’est très certainement inspirée !

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